Flash info
Accueil | Santé | Hôpital J.G Hartmann

Hôpital J.G Hartmann

Hopitald e Joeuf
03 82 47 53 53
26 rue Saint Robert
Président de l’Association Santé et Services des Pays de l’Orne :
M. THIRY Denis
Directrice de l’Association Santé et Services des Pays de l’Orne :
Mme GALLAND-MORICE Sandrine

L’hôpital a une double vocation : gériatrique et palliative :

  • Filière complète de prise en charge des personnes âgées
  • Service de médecine
  • Service de soins de suite

Centre mémoire Saint Michel :
Il accueille les personnes pour consultation mémoire ou hospitalisation de jour.

Hospitalisation à domicile (située dans les locaux de la Pouponnière, rue Sainte Alice) :
Prise en charge polyvalente à domicile y compris le post-partum en sortie de maternité complétée par une équipe mobile de soins palliatifs.

A savoir, le service des urgences est fermé depuis déjà plusieurs années. Un patient ne peut être admis à l’hôpital de Joeuf directement.

Le cantouL’ex bâtiment Cantou, de par sa proximité avec la structure hospitalière, accueille une unité de 12 lits, pour les résidents de l’EHPAD en fin de vie.

Le saviez-vous ?

Le saviez-vous ?

Dès 1883, deux infirmières des Sœurs de la Providence de Peltre résident dans une cité de la rue St Robert qui sert également d’école. En 1891, le bâtiment fait uniquement office d’infirmerie. Puis, l’immeuble est notablement transformé et agrandi en 1903 : c’est la véritable naissance de l’hôpital des Forges. Le premier médecin-chef est le Dr Louis CHEVALOT, arrivé à Joeuf en 1895. En 1907, la capacité d’accueil est de 24 lits, essentiellement réservés aux accidentés des Forges et de la mine de Joeuf. En 1921, sur l’impulsion de Dr AWENG, un « Centre d’hygiène » est créé dans les locaux de l’Hôpital des Forges. Il permet aux populations de Joeuf, d’Homécourt et d’Auboué (25000 âmes) de subir des examens cliniques, radiologiques ou bactériologiques gratuits. Le médecin-chef est secondé par une assistante sociale-chef et trois assistantes sociales. Dès 1927, l’infimerie des Forges sert également de maternité. Le nombre de naissance ne cessera de croître dans les années 30 et connaîtra son apogée après la seconde guerre. La dernière naissance recensée à la maternit » de Génibois est une petite fille née le 30 décembre 1969. avec la création de la sécurité sociale en 1947, l’hôpital s’ouvre à tous. Il comporte alors une trentaine de lits. Le 20 mars 1972, après l’abandon des activités non-industrielles de la société DE WENDEL-SIDELOR, l’Association Hospitalière de joeuf se créé. A partir de 1986, l’équipe médicale, confrontée au devenir des patients âgés et estimant les structures d’accueil classiques inadaptées, prend l’initiative de créer une seconde association dénommée « Centre d’Hébergement Social » qui se porte acquéreur du bâtiment de l’école, désaffecté, édifié par la maison DE WENDEL, situé en face de l’Hôpital pour le transformer en CANTOU. Le 17 juillet 1995, les deux associations fusionnent.

Un partenariat avec les associations

Trois associations très actives oeuvrent bénévolement dans le cadre de projets thérapeutiques de l’hôpital et du Cantou :

  • Le Soleil couchant fait des animations en direction des résidents de l’EHPAD « les Sentiers De Ravenne »,
  • Arc-en-ciel vient en soutien aux patients en fin de vie et aux familles dans le cadre des soins palliatifs,
  • Le Fil d’or intervient à domicile et prévient l’isolement des personnes âgées sur l’ensemble de la ville de Joeuf.

Les capacités de l’hôpital

  • 20 lits de médecine dont 4 lits identifiés en soins palliatifs,
  • 20 lits de soins de suite dont 4 lits identifiés en soins palliatifs,
  • 10 places d’hospitalisation de jour,
  • 30 places d’hospitalisation à domicile.

Enregistrer

Accessibilité